Témoignage bien-être : « Mon retour d’expérience avec la biorésonance et le sommeil »

Entretien avec Sophie, 42 ans, qui témoigne de son expérience
Sophie, pouvez-vous nous parler de vos difficultés de sommeil avant de découvrir la biorésonance ?
Bien sûr. Mon problème a commencé il y a environ six ans, après une période très stressante au travail. J’avais beaucoup de responsabilités et je ramenais mes dossiers à la maison. Progressivement, mon sommeil est devenu de plus en plus léger. Au début, je me réveillais vers 4 ou 5 heures du matin, incapable de me rendormir. Puis c’est l’endormissement qui est devenu difficile : je pouvais passer des heures à ressasser mes soucis. À force, c’est devenu un cercle vicieux.
Le manque de sommeil affectait tout : mon humeur, ma patience avec mes enfants, ma concentration au bureau… Je m’endormais parfois en réunion, et je me suis même assoupie au volant un jour. C’est là que j’ai compris qu’il fallait absolument trouver une solution.
Qu’est-ce qui vous a orientée vers la biorésonance ?
J’avais essayé beaucoup de choses : tisanes, yoga du soir, méditation guidée… J’ai aussi consulté un médecin qui m’a prescrit des somnifères. Ça marchait au début, mais je me réveillais groggy, et j’avais peur de devenir dépendante. Une amie, qui avait utilisé la biorésonance pour des allergies saisonnières, m’a raconté qu’elle dormait mieux depuis. J’étais sceptique au départ, mais je me suis dit : « pourquoi ne pas tenter ? » J’ai pris rendez-vous avec une praticienne spécialisée pour tester cette approche complémentaire, et j’ai parallèlement échangé avec mon médecin afin de ne pas modifier mon suivi médical.
Comment s’est déroulée votre première séance ?
La praticienne m’a accueillie dans son cabinet, pas du tout médicalisé, ce qui m’a mise à l’aise. Elle m’a posé des questions très précises : depuis combien de temps j’avais des insomnies, à quoi ressemblait une “mauvaise nuit” pour moi, mes habitudes alimentaires, si je prenais des excitants comme le café… J’ai apprécié son écoute, je n’avais pas l’impression d’être “un cas de plus”.
Ensuite, elle m’a installée dans un fauteuil inclinable, presque comme une chaise longue. Elle a utilisé un appareil de biorésonance avec des capteurs sur mes poignets et mes chevilles. Pendant toute la séance, je n’ai rien ressenti de désagréable, et j’ai perçu une détente progressive. À un moment, j’ai eu l’impression d’être à la frontière entre veille et sommeil, comme quand on somnole au soleil. La séance a duré environ une heure.
Avez-vous constaté des changements rapidement ?
La première nuit, je n’ai pas dormi comme un bébé, mais j’ai remarqué que je ne m’étais pas tournée et retournée autant que d’habitude. C’était déjà une petite victoire. Après la deuxième séance, j’ai eu une nuit complète de 7 heures sans réveil — ça ne m’était pas arrivé depuis des années !
La praticienne m’avait expliqué que chaque organisme réagit différemment et que les effets peuvent être progressifs. Mais dès la troisième séance, j’ai senti une vraie différence : mes pensées s’apaisaient plus vite le soir, comme si mon cerveau acceptait enfin de décrocher.
Comment décririez-vous vos sensations pendant et après les séances ?
Pendant, c’est un peu comme une méditation profonde. On sent son corps qui s’alourdit, la respiration qui ralentit. J’ai parfois eu des sensations de chaleur douce dans les mains ou les jambes, mais rien de désagréable.
Après, je me sentais légère, parfois même euphorique. J’avais envie de marcher tranquillement, de respirer à pleins poumons. Une fois, je suis rentrée à pied du cabinet, alors que j’avais prévu de prendre la voiture, juste pour prolonger ce sentiment de calme.
Pouvez-vous nous parler de l’évolution sur plusieurs semaines ?
J’ai suivi un cycle de six séances espacées d’une semaine, puis un rendez-vous de suivi un mois plus tard. Au bout d’un mois, mes nuits me paraissaient déjà beaucoup plus régulières. J’arrivais à m’endormir en 20 minutes au lieu d’une heure et demie. Je faisais encore quelques réveils nocturnes, mais courts et moins gênants, et je réussissais à me rendormir sans angoisse.
Ce qui m’a le plus marquée, c’est le changement dans ma journée qui m’a semblé beaucoup plus positif : j’étais plus concentrée, plus patiente, et même mes proches l’ont remarqué. Mon fils m’a dit un matin : “Maman, t’as l’air moins fatiguée aujourd’hui.” Ça m’a touchée.
Où en êtes-vous aujourd’hui ?
Cela fait maintenant six mois que j’ai commencé la biorésonance. Je continue un suivi d’entretien occasionnel, une séance toutes les 6 à 8 semaines. Je dors en moyenne 6 à 7 heures par nuit, parfois 8 quand je suis vraiment fatiguée. Je me sens reposée et surtout, je n’ai plus cette angoisse du coucher. Avant, aller au lit était une source de stress ; maintenant, c’est redevenu un moment agréable.
Recommanderiez-vous la biorésonance à d’autres personnes qui souffrent d’insomnie ?
Oui, absolument. Je ne prétends pas que c’est une solution miracle, et je sais que chacun a son propre parcours. Ce n’est d’ailleurs pas une solution « médicale », et chacun peut réagir différemment. Mais pour moi, ça a été une véritable libération. Je la recommanderais comme approche de bien-être complémentaire, l’essayer avec l’esprit ouvert, et accepter que les résultats viennent progressivement. C’est une approche douce qui m’a redonné confiance en ma capacité à bien dormir.
⚠️ Ce témoignage reflète un ressenti individuel dans une démarche de bien-être. La biorésonance n’est pas un acte médical et ne remplace pas un suivi professionnel. En cas d’insomnies persistantes ou de troubles du sommeil sévères, demandez conseil à un médecin ou un spécialiste du sommeil. Les effets peuvent varier d’une personne à l’autre.
Publié par Claire - Modifié le : 12/09/2025